“Une odyssée du 20e siècle s’achève, celle d’un destin de liberté qui (…) décide de mourir pour notre Nation.” C’est par ces mots que commence le discours de M. Macron
lors de la panthéonisation (réservée normalement aux “grands hommes” de la Patrie…) du communiste arménien Missak Manouchian. La réalité est pourtant bien différente ; Missak
Manouchian n’a jamais défendu ni l’Arménie ni la France, mais le communisme.
► Voir notre article À propos d’une panthéonisation (revue n° 291, fév 2024)